Gaîté lyrique, sous les lumières d‘un concert, vos textes, Nous rappellent les temps accostés des femmes de passages, Je vois scintiller les lanternes en papier du plaisir passé Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ;
Une île volcanique où la mer donne Une saveur iodée à la vie ; Les hommes tantôt lucioles et bushi, Les femmes hanami d’un jour, des nuits vagabondes.
Guidé par l’esprit du tamaboko, Je vois la partition de signes flottants Aires marine des amours humides,
Sensation de l’instant à l’oeil ouvert au vers, S’imprimer que si l’on est en, Émoi aux chants des sirènes aveugles.