Marc Michiels impose à son studio les détours imprévisibles du rêve. Ses Chimères se peuplent de mannequins et de modèles coupés du monde soyeux de la mode pour se retrouver, morcelées ou multipliées, dans des limbes traversées de lumières étranges. Car ses lumières maquillent et travestissent plus qu’elles n’éclairent les icônes païennes que l’artiste rehausse encore au stylet pour déposer le corail d’un pointillisme, ses propres graffitis…